Encore des news!!!!!!
Décidément bien prolixe en ce moment et pour cause nous sommes bloqués au port de Bayona avec un temps à ne pas mettre un gueux dehors! Pluie et vent font vraiment bon ménage dans ce pays.
On a fait notre lessive et pour faire oublier les calamars de l'autre jour, on s'est fait un restau hier soir.
Menu: chipirones frits, piments farcis, gambas et moules farcies pour finir. Le tout avec un petit vin blanc qui va bien car dans ce pays, le vin est bon!
Et pour finir on recommence ce soir avant le départ de Philou demain matin au bus de 7h30. Il redescend jusqu'à Lisbonne par bus pour y être demain dans l'après-midi. Son avion est à 11h30 dimanche .
Caro bulle et mollusque à souhait sous la couette et reste à bord lire et glander ce qui en soi est déjà pas si mal! En fait c'est dur d'être en vacances !!!!!!!
Normalement il n'y a pas de fenêtre météo avant lundi et encore, on nous annonce du vent de sud ce qui est évidemment dans notre étrave. En fait cela ressemble beaucoup à chez nous, les vents dominants étant toujours les vents debout (de face pour les terriens).
Voilà la dure vie d'un marin et de sa marine errants sur les flots.
Quelque photos de notre petit intérieur très cosy au moment de l'apéro, pour ceux qui n'ont pas encore vu!
Pour ceux qui serait étonnés : je n'ai pas perdu mes cheveux en mer mais quelqu'un qui se dit un ami en a profité pour me faire une tête à la Jean Réno dans les visiteurs. On a été obligé de rectifier la coupe, parce que l'on ne m'aurait pas laisser débarquer en Espagne avec cette tête là!
A part le fait d'avoir froid au crane, j'avoue que cela est bien pratique! Je me sèche les cheveux avec les sèches-mains dans les douches et un anglais n'en est pas encore revenu de me voir accroupi sous l'appareil!! Cette coupe à connotation historique colle d'ailleurs très bien avec l'endroit car c'est ici que Christophe Colomb a accosté de retour des Amériques, il y a même dans le port une réplique de son bateau: La Pinta. et quand on voit l'engin on est content d'être de ce siècle!
a tchao les petits.
Caroberto